Y associer des gestes

Ne rien stocker dans sa tête. Voilà l’une des clés de la méthode Getting things done.

Toutefois, l’ironie de la chose est qu’il est difficile d’implémenter cette méthode sans l’avoir intégralement mémorisée, qu’elle ait été apprise par coeur ou rendue automatique par l’habitude.

Mais derrière ce paradoxe se cache une intéressante distinction entre les différentes mémoires. Car si la mémoire à court terme est extrêmement peu fiable, la mémoire procédurale (celle qui fait que vous n’oubliez pas comment monter sur un vélo) est d’une incroyable longévité.

Peut-être qu’un bon moyen d’ancrer Getting things done dans sa vie, c’est d’y associer des gestes, des actions physiques, en plus du processus mental.


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