5 étapes

Getting things done, toujours. Où en suis-je ?

[...]

5 étapes :

  • La collecte. A coup sûr, la partie que j’ai le mieux implémentée. C’est désormais un réflexe : dès que je sens qu’il va y avoir quelque chose sur lequel je vais devoir revenir plus tard, je le note. Tas de post-it, feuille de brouillon qui traîne, sms enregistré : au final, je n’ai pas eu à faire grand chose pour que je puisse en permanence délester mon cerveau d’un élément à retenir.
  • Le traitement. Ah, le traitement… Définitivement la clé de cette méthode. Le décalage entre le temps que ça prend et l’attention qu’il faut mobiliser pour y arriver est parfois ahurissante. Impossible de l’effectuer sans être entièrement consacré à chaque élément. La rigueur nécessaire me manque pour en faire une étape automatique, même si je laisse rarement une semaine complète sans vider entièrement l’amas de choses collectées.
  • L’organisation. Après quelques tâtonnements, j’ai trouvé le format qui me convient. Il reste encore des ajustements à faire, comme la liste des choses « En attente » dont je commence à comprendre la puissance, mais l’essentiel est fluide.
  • La revue. Pas très profonde, mais je n’ai pas non plus vraiment le sentiment qu’il faille faire plus. Avec l’implémentation de Getting Things Done, j’en ai profité pour faire beaucoup de tri au passage, ce qui rend la revue rapide.
  • L’action. Ca va. Procrastination pas complètement éliminée dans certains domaines, mais j’ai découvert en contre-partie des pointes d’énergie comme je n’en avais jamais connu auparavant. Une seule origine à cela, la clarté d’esprit au moment de passer à l’acte.

[...]

Je n’aborde pas les autres aspects de Gettings things done, ayant décidé de me focaliser sur ce niveau pour le moment.


D'autres articles sur l'organisation, la concentration, la mémoire