Passer à côté du beau

En 2007, le quotidien américain The Washington Post a mené une expérience intéressante, avec la complicité d’un violoniste de renommée mondiale, Joshua Bell.

A la demande du journal, Joshua Bell a joué du violon pendant 45 minutes, dans le métro, à une heure de pointe. L’objectif de l’expérience était de voir si les gens seraient sensibles à la qualité de la musique, jouée en dehors de son contexte habituel.

La réponse est simple : non. Sur les 1000 personnes qui sont passées devant lui, seule une poignée de gens se sont arrêtés pour écouter.

[...]

Un passage de l’article m’a fait sourire :

For many of us, the explosion in technology has perversely limited, not expanded, our exposure to new experiences. Increasingly, we get our news from sources that think as we already do. And with iPods, we hear what we already know; we program our own playlists.

Aller plus loin


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